Orthopoxvirose simienne

(«mpox», «monkey pox», «variole simienne» ou «variole du singe»)

mpox, variole simienne, monkey pox
description

DESCRIPTION

L’orthopoxvirose simienne, aussi connue sous le nom de «mpox», «variole simienne» ou «monkey pox», est une infection virale causée par un orthopoxvirus de la famille des Poxviridae, qui regroupe les virus responsables de la variole, de la vaccine, de l’ecthyma contagieux et du molluscum contagiosum.

Au début de l’année 2023, on signalait environ 1460 cas de mpox sur 9 provinces ou territoires du Canada, ayant mené à environ 40 hospitalisations au pays (1). Montréal a figuré parmi les villes les plus affectées au début de l’éclosion canadienne; au total, 525 cas ont été recensés au Québec (8)

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Attention!

Afin de limiter le rayonnement de fausses idées qui entretiennent les préjugés et la stigmatisation de l'infection, l'OMS (2) recommande depuis novembre 2022 l'utilisation de la formulation «mpox» (plutôt que variole «simienne», «du singe», etc.).

Peu importe la dénomination utilisée par une source, elle renvoie toujours à la même infection, soit à l'orthopoxvirose simienne (autrement dit, différents noms ne renvoient pas à différents types de mpox; l'infection ne change pas en fonction du nom utilisé).

TRANSMISSION

La transmission peut se faire de trois manières :«humain à humain», «animal à humain» et «par vecteur» (1).

 

1- Transmission «humain à humain»

● Contact direct entre surface muqueuse comme les yeux, la bouche, la gorge, les organes génitaux, la zone périanale et des lésions cutanées, du sang, ou des liquides organiques infectés (par exemple pendant la prestation des soins, la cohabitation ou un contact sexuel);

● Voies respiratoires par gouttelettes, par exemple celles provoquées par la toux ou des éternuements;

● Transmission verticale possible (personne enceinte au fœtus).

2- Transmission «animal à humain» :

● Transmission par morsure, égratignure, et léchage dun animal infecté;

● Par contact direct avec le sang, les liquides organiques ou les lésions d’un animal infecté vivant ou mort;

● Manipulation ou préparation d’animaux vivants ou non pour des fins de consommation;

● Dépeçage, chasse, tannerie.

Transmission «par vecteur»

● Contact direct avec des vêtements ou du linge contaminés, ou avec des objets touchés par une personne infectieuse ou  un animal contaminé. 

3- Transmission «par vecteur»

● Contact direct avec des vêtements ou du linge contaminés, ou avec des objets touchés par une personne infectieuse ou par un animal contaminé. 

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Attention!

Les connaissances concernant la durée de l’immunité après une infection par le virus de la mpox sont actuellement limitées (3) . Nous ne savons pas encore précisément si une infection antérieure confère une immunité contre les infections futures, ni pour combien de temps si c’est le cas.

Des exemples d’infection secondaire (2e infection) ont été rapportés. On recommande donc aux personnes qui ont déjà eu la mpox de faire le maximum pour éviter une réinfection.

symptômes

SYMPTÔMES et COMPLICATIONS

Les symptômes apparaissent généralement entre 5 à 21 jours après l’exposition au virus.

 

Les symptômes possibles (1)  sont:

  • ● Éruption cutanée («boutons» ou «lésions»), avec ou sans douleur ; 
  • ● Une augmentation du volume des ganglions d’un côté ou des deux côtés du corps, souvent palpable dans la région du cou, des aisselles, ou de l’aine ( «adénopathie unilatérale ou bilatérale »);
  • ● Fièvre;
  • ● Frissons;
  • ● Maux de tête;
  • ● Épuisement;
  • ● Douleurs musculaires;
  • ● Douleurs articulaires.
  •  

L’adénopathie unilatérale ou bilatérale est un des indicateurs importants de la mpox, qui la différencie de la variole et de la varicelle.

L’éruption cutanée se manifeste généralement de 1 à 3 jours après l’apparition de la fièvre, et peut durer entre 14 et 28 jours. Elle se localise principalement  sur le visage et sur les extrémités, mais des lésions peuvent aussi apparaitre sur les parties du corps suivantes : 

  • ● tête;
  • ● bras;
  • ● mains;
  • ● anus;
  • ● rectum;
  • ● organes génitaux;
  • ● jambes;
  • ● pieds.

L’éruption cutanée se présente en plusieurs phases, avec des lésions qui changent d’apparence à chaque étape. La dernière étape est la formation d’une croûte qui tombera d’elle-même. Un traitement peut être offert par un professionnel de la santé s’il y a des risques d’infection bactérienne des sites de l’éruption cutanée, ou si les plaies sont surinfectées. 

Cette image est composée de six photos qui illustrent les changements dans une lésion de la mpox pendant la progression de la maladie. Il y a trois photos en haut, et trois en bas. On peut suivre la progression de l'éruption cutanée en regardant les images du coin supérieur gauche au coin inférieur droit, de gauche à droite. Chaque photo illustre une seule lésion. La photo dans le coin supérieur gauche illustre une petite vésicule arrondie. La peau entourant la vésicule est rougie. La photo en haut, au centre, illustre une pustule avec une base érythémateuse. La photo dans le coin supérieur droit illustre une pustule ombiliquée (pustule avec dépression centrale). La photo dans le coin inférieur gauche illustre une lésion ulcéreuse. La photo en bas, au centre, illustre une lésion ulcéreuse qui a commencé à se recouvrir d'une croûte. La photo dans le coin inférieur droit illustre une lésion dont la croûte est en partie détachée, révélant une peau cicatrisée en dessous.

Image tirée de «Mpox (variole simienne): Pour les professionnels de la santé» , Gouvernement du Canada (4)

Les complications suivantes sont rares; elles représentent néanmoins les principales causes d’hospitalisation (4)

  • ● Myocardite
  • ● Pharyngite sévère (peut compromettre la respiration et la déglutition)
  • ● Inflammation de la muqueuse du rectum (‘rectite’) sévère, qui peut gêner la défécation
  • ● Douleurs génitales importantes, qui peuvent entrainer une rétention urinaire
  • ● Surinfection bactérienne des lésions cutanées
  • ● Infection de la cornée (membrane extérieure de l’oeil), qui peut mener à une perte de vision
  • ● Inflammation  du cerveau (encéphalite)

Les jeunes enfants et les personnes immunodéprimées peuvent présenter un risque accru de complications (voir la section VIH & mpox ).

Bien que très rares, des décès dus à la mpox peuvent survenir et ont été signalés à l’extérieur du Canada lors de l’éclosion de 2022 (4)

Dépistage

Si vous avez été en contact rapproché avec un cas suspecté,confirmé, ou symptomatique, surveillez l’apparition de symptômes pendant 21 jours.

Vous pouvez vous faire vacciner si vous ne ressentez pas de symptômes.  Évitez de prendre des médicaments qui peuvent réduire la fièvre, comme l’acétaminophène, l’ibuprofène et l’acide acétylsalicylique, car ils pourraient masquer un symptôme précoce de l’infection. 

Si vous présentez des symptômes d’infection de la mpox, isolez-vous immédiatement et communiquez avec l’autorité de santé publique ou un·e professionnel·le de la santé de votre région. Dans la mesure du possible, informez votre professionnel·le de la santé que vous avez été exposé, et ce, avant de vous présenter pour un rendez-vous en personne.

 

Vous souhaitez avoir un rendez-vous pour une évaluation et vous avez des symptômes semblables à la variole simienne ? 

Rendez-vous d’évaluation, région de Montréal:

514 766-3974, option 3 

  • Du lundi au vendredi, de 8 h à 20 h 
  • Samedi et dimanche, de 8 h à 16 h

Rendez-vous d’évaluation, région de Québec:

1 833 825-5065, poste 10756 (sans frais)

  • Du lundi au vendredi, de 8h à 12h et de 13h à 16h

Autres régions:

  • Contactez Info-Santé 811 pour connaître les ressources disponibles dans votre région

 

Critères de dépistage (5):

● Avoir des lésions cutanées ET au moins 1 des symptômes suivants: fièvre, maux de tête, démangeaisons, grande fatigue, sueurs nocturnes, ganglions enflés, douleurs articulaires et musculaires

OU

● Avoir des lésions génitales, périanales ou orales ET être un homme (cis ou trans) qui a eu des relations sexuelles avec d’autres hommes récemment (c’est à dire dans les 21 jours avant l’apparition des symptômes)

OU

● Avoir des lésions génitales, périanales ou orales ET exercer un métier du travail du sexe.

  •  

Si vous ne répondez pas aux critères de dépistage, mais que vous avez des questions ou des inquiétudes sur votre état de santé, vous pouvez appeller la ligne Info-Santé 811 pour joindre rapidement une infirmière qui sera en mesure de vous conseiller et de vous diriger vers une ressource près de chez vous. 

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Attention!

Les symptômes de la mpox peuvent ressembler à d'autres maladies infectieuses, comme la varicelle, ou à plusieurs infections transmises sexuellement (par exemple l'herpès ou la gonorrhée) (6) .

On recommande donc de consulter un·e professionnel·le de la santé qui pourra vous aider à évaluer la pertinence d'un dépistage.

dépistage
le vih peut cohabiter avec d'autres itss

VIH & Mpox

Les connaissances concernant la co-infection VIH- mpox sont actuellement limitées; certains éléments semblent cependant indiquer que le fait d’être immunodéprimé.e (avoir un faible système immunitaire, des CD4 bas, etc.) pourrait augmenter les risques d’être infecté par la mpox en cas d’exposition, de présenter une forme plus grave de la maladie, ou, beaucoup plus rarement, de mourir des suites de l’infection (10, 11).

En l’absence de traitement, le VIH peut affaiblir le système immunitaire. Cependant, les personnes vivant avec le VIH qui connaissent leur statut peuvent protéger leur système immunitaire si elles ont accès à un traitement, qu’elles le suivent adéquatement et qu’elles ont une charge virale faible ou supprimée (‘indétectable’). La charge virale indétectable permet au système immunitaire de demeurer  fort et d’être beaucoup moins vulnérable à d’autres infections qu’il ne le serait en l’absence de traitement.

À l’heure actuelle, de nombreuses personnes qui ont été atteintes par la mpox lors de l’épidémie de 2022 vivent également avec le VIH, mais il y a eu peu de cas sévères parmi elles, probablement parce que, dans la plupart des cas, leur infection au VIH était bien contrôlée. Des études sont en cours pour mieux comprendre ces questions (3).

La vaccination est la stratégie la plus efficace pour éviter l’infection à la mpox.  Les personnes vivant avec le VIH peuvent recevoir les vaccins antivarioliques de 3e génération; il est toutefois recommandé de confirmer d’abord avec son équipe de soins ou avec un·e professionnel·le de la santé avant de fixer un rendez-vous (12).

 

Traitements

L’infection se résorbe d’elle-même sans traitement en quelques semaines. Il est cependant possible d’accéder à un traitement pour soulager la douleur, pour prévenir la réinfection bactérienne des sites de  l’éruption sur la peau, et/ou pour soigner les plaies au besoin.

Comme il n’y a pas de traitements précis pour traiter la mpox, on mise surtout sur des stratégies de prévention et sur des gestes barrières pour éviter de transmettre l’infection.

En cas de diagnostic positif, ou en attente d’un diagnostic possible (1)

● Éviter les contacts avec d’autres personnes
● Éviter les contacts avec les animaux (même les animaux de compagnie). Comme mesures de précaution avec un animal de compagnie, porter des gants et un masque médical et couvrir toutes les lésions avec des vêtements ou des bandages; 

● Éviter de partager des objets qui ont été en contact avec la peau ou les lésions
● Se laver les mains, et se couvrir la bouche et le nez lorsqu’on tousse ou éternue
● Reporter les rendez-vous non urgents
● Demander des conseils à un·e professionnel·le de la santé si on allaite

Il est recommandé de s’isoler complètement à la maison jusqu’à ce qu’un·e professionnel·le de la santé confirme la fin de la phase symptomatique : généralement, cet isolement peut être soulevé lorsque l’éruption cutanée forme des croûtes qui commencent à tomber.

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Attention!

La varicelle n'est pas causée par le même virus que la mpox (virus varicelle-zona, vs. orthopoxvirus) (3).

Une exposition antérieure à la varicelle ne fournit donc pas de protection contre la mpox.

prévenir itss infirmière
pétition vih sida

Prévention - Vaccination

Depuis 2020, le vaccin disponible pour la mpox au Canada est le vaccin «ImvamuneMD», un vaccin vivant atténué nonréplicatif de 3e génération offert en 2 doses de 0,5 ml, administrées par voie sous-cutanée à un intervalle d’au moins 28 jours. Contrairement aux vaccins des 1ere et 2e générations, les vaccins de 3e génération peuvent être offerts en toute sécurité aux personnes immunodéprimées et/ou qui vivent avec certaines maladies (7, 12)

Le vaccin ImvamuneMD n’a pas été évalué en pédiatrie ni chez les personnes enceintes ou qui allaitent; des données préliminaires suggèrent toutefois que le profil d’innocuité est adéquat dans ces groupes. Les personnes appartenant à ces groupes qui souhaitent être vaccinées pour la mpox peuvent communiquer avec leur équipe de soins ou avec un·e professionnel·le de la santé afin de connaître les options préventives les mieux adaptées à leur situation particulière.

Il est possible de recevoir la vaccination avant (‘préexposition’) ou après (‘post exposition’) l’exposition à une personne symptomatique infectée.

Le vaccin peut être administré en même temps qu’un vaccin inactif. On recommande aux personnes qui reçoivent un vaccin contre la COVID-19 de laisser un intervalle de quatre semaines entre les deux rendez-vous. Cependant, pour toute situation urgente, le vaccin de la mpox peut être administré au besoin (c’est-à-dire même si c’est quelques jours après le vaccin de la COVID-19).

Vaccin Préexposition (‘avant’)

La personne doit être âgée de 18 ans+, et elle doit appartenir à au moins un de ces groupes de personnes :

● Personnes qui exercent un métier du travail du sexe, OU;

● Personnes qui travaillent ou qui sont bénévoles dans un lieu de socialisation (ou un évènement) GBTQ avec sexualité sur place entre hommes (cis ou trans), OU

● Hommes (cis ou trans), personnes GBTQ ou personnes non-binaires qui ont (ou qui auront) des contacts sexuels avec un homme (cis ou trans) (‘HARSAH’).

On recommande de recevoir deux doses de 0,5ml à au moins quatre semaine d’intervalle. Une dose de rappel pourrait être nécessaire après deux ans.

Vaccin Postexposition (‘après’)

La personne doit:

● Être âgée de 18 ans+,

ET

● Ne doit pas avoir de symptômes de la mpox. 

*** Aucun test sérologique est nécessaire avant ou après l’exposition (c’est-à-dire qu’il n’est pas obligatoire de passer un test dépistage de la mpox ou de faire des prises de sang ni avant, ni après le vaccin). 

Une personne peut se faire vacciner idéalement 4 jours (jusqu’au 14e jour) après le contact avec une personne symptomatique infectée. Une personne symptomatique ne peut pas recevoir le vaccin.

Consultez le Portail Clic Santé (https://portal3.clicsante.ca/) pour en savoir plus sur la vaccination, ou pour prendre un rendez-vous au Québec (catégorie ‘vaccination’, puis option ‘vaccin contre la variole simienne (variole du singe). 

Réactions possibles au vaccin: 

Dans la majorité des cas, le vaccin ne provoque aucune réaction (9). Les réactions les plus fréquentes (moins de 10% des gens) sont les suivantes:

  • Douleur, rougeur, enflure, démangeaisons ou durcissement de la peau (‘induration’) à l’endroit où l’injection a été faite;
  • Nausées;
  • Mal de tête;
  • Fatigue;
  • Douleurs musculaires.
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Attention!

En ce début 2023, il n'existe pas beaucoup de données en lien avec la vaccination. À ce jour, environ 40 000 doses du vaccin de 3e génération ImvamuneMD ont été administrées, principalement chez les hommes cis ou trans, gais, bisexuels ou queer (GBTQ) ou ayant eu des relations sexuelles avec d’autres hommes; les résultats d'études internationales préliminaires suggèrent que ce vaccin confère une bonne immunité contre la mpox (8).

L’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) mène actuellement, en partenariat avec l'organisme RÉZO , une étude sur l’efficacité du vaccin ImvamuneMD dans le but de confirmer les résultats des études menées à l'extérieur du pays. Les résultats de cette étude sont attendus d’ici l’été 2023.

Prévention - Santé Sexuelle

La mpox peut se transmettre par contact étroit de toute nature avec une personne infectée, y compris par les baisers, les caresses, les rapports bucco-génitaux et les rapports sexuels avec pénétration vaginale ou anale. 

Afin de prévenir la transmission dans un contexte d’activités sexuelles, il est recommandé de :

● Se faire vacciner lorsque c’est possible
● Utiliser des méthodes barrières pour éviter les contacts peau-à peau directs et pour protéger ses muqueuses, un condom ou une digue par exemple
● Réduire le nombre de personnes avec qui on entre en contact lorsque c’est possible, par exemple en se rencontrant en plus petit groupe ou en évitant les endroits très achalandés
● Laver fréquemment ses mains et le matériel utilisé, comme les jouets sexuels, les vêtements et les surfaces

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Attention!

Bien que le virus de la mpox ait été détecté dans le sperme, on ignore pour l’instant si la maladie peut se transmettre par le sperme ou les sécrétions vaginales (3).

groupes de soutien
ressources et liens

LIENS & RESSOURCES UTILES

Vous trouverez ci-dessous une liste de ressources fiables sélectionnées par notre équipe, pour vous aider à aller plus loin sur le sujet :

● Gouvernement du Canada: Variole simienne : Symptômes, se faire dépister, ce que vous devez faire si vous êtes infecté ou si vous avez été exposé: https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/mpox/symptomes-gestion.html

● Données épidémiologiques du programme de surveillance de la mpox au Canada: https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/mpox.html

● Liste des ressources régionales pour se faire vacciner au Québec (tout en bas de la page): https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/variole-simienne

● Quiz « La vaccination est-elle pour moi » : https://form.typeform.com/to/XMQYGkQj?typeform-source=pvsq.org

● Pour en savoir plus sur la vaccination, ou pour prendre un rendez-vous au Québec (Portail Clic Santé): https://portal3.clicsante.ca/
→ (catégorie ‘vaccination’, puis option ‘vaccin contre la variole simienne (variole du singe) ).

● Trouver une clinique de dépistage des ITSS près de chez vous: https://pvsq.org/sites-de-depistages/

● Notre équipe est là pour toutes questions en lien avec la mpox, les ITSS ou la prévention:
☎️ Téléphone, du lundi au vendredi, sans-frais : #1-877-Portail (767-8245)
📧 Courriel : intervention@pvsq.org
💬 Clavardage sur notre site web pvsq.org
📱 Sext’info, textez au : (514) 400-9301

 

Bonnes recherches !

Références citées

(1) Programme canadien de surveillance de la mpox, Santé Publique du Canada :  https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/mpox.html

(2) Organisation Panaméricaine de la Santé (OPS): https://www.paho.org/fr/nouvelles/28-11-2022-loms-recommande-nouveau-nom-pour-variole-du-singe 

(3) Organisation Mondiale de la Santé (OMS):  https://www.who.int/fr/news-room/questions-and-answers/item/monkeypox?gclid=CjwKCAiArY2fBhB9EiwAWqHK6kjAZ8s8FRkqfbqMgWgpRwNddzy67LDVxQBL8bWhyrog-2lgjK5XVRoCRqoQAvD_BwE

(4) Mpox (variole simienne) : Pour les professionnels de la santé, Gouvernement du Canada:  https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/mpox/professionnels-sante.html#a3

(5) Centre intégré universitaire de santé et de services
sociaux de la Capitale-Nationale (CIUSS) : https://www.ciusss-capitalenationale.gouv.qc.ca/sante-publique/maladies-infectieuses/variole-simienne

(6) Variole simienne : Symptômes, se faire dépister, ce que vous devez faire si vous êtes infecté ou si vous avez été exposé, Gouvernement du Canada: https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/mpox/symptomes-gestion.html

(7) Variole simienne (mpox), Gouvernement du Québec : https://www.quebec.ca/sante/problemes-de-sante/a-z/variole-simienne

(8) Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) : https://www.inspq.qc.ca/nouvelles/l-inspq-mene-etude-novatrice-sur-l-efficacite-du-vaccin-contre-variole-simienne

(9) Gouvernement du Québec: https://www.quebec.ca/sante/conseils-et-prevention/vaccination/vaccin-variole-simienne

(10) O’Shea et al. (2022). “Interim Guidance for Prevention and Treatment of Monkeypox in Persons with HIV Infection “.  http://dx.doi.org/10.15585/mmwr.mm7132e4.

(11) Ortiz-Saavedra et al. (2023). “Epidemiologic Situation of HIV and Monkeypox Coinfection: A Systematic Review”.  https://doi.org/10.3390/vaccines11020246

(12) Vaccination contre la variole simienne- avis scientifique intérimaire, INSPQ: https://www.inspq.qc.ca/sites/default/files/publications/2867-vaccination-variole-simienne.pdf